Résumé de l'éditeur : (traduction Evenusia - on copie on crédite svp)
Le deuxième tome de la trilogie "Le dernier jardin" révèle un monde aussi captivant — et aussi dangereux — que celui que Rhine a laissé dans Ephémère. Rhine et Gabriel ont beau s'être échappé de la prison qu'était le magnifique manoir, ils sont loin d'avoir fui le danger. Tout d'abord ils sont pouchassés pour avoir volé un bateau pour leur escapade, et puis le couple en fuite se réfugie dans l'étrange terrier de Madame, une vieille femme qui collectionne les filles et les vend aux plus offrants. Pire que tout, Vaughn, beau-père sinistre de Rhine, semble être sur sa piste et se rapprocher un peu plus à chaque étape. Rhine reste déterminée à rejoindre son frère à Manhattan, mais la route est longue et périlleuse. Maintenant que Rhine a enfin retrouvé sa liberté, jusqu'où devra-t-elle aller afin de pouvoir la garder ?
Parce qu'il faut rire de tout et surtout de ce qu'on aime, l'équipe de Twilight Navarre a fait un joli boulot pour notre plus grand plaisir et avec beaucoup d'humour.
À cette occasion, Lire en Live vous propose d'imaginer la fin de cette trilogie et d'en réaliser la vidéo. Film, animations, photos, textes, tout est permis.
Laissez libre court à votre imagination sans pour autant oublier l'univers haletant d'Instinct.
Le film ne doit pas dépasser 5 minutes La vidéo doit avoir comme nom « Instinct Nathan - nom du réalisateur » La vidéo est à déposer sur Youtube ou Dailymotion, au choix. Vous devrez ensuite poster le lien vers la vidéo directement sur notre fan page Facebook ou en commentaire de cet article.
Le concours se clôture le 29 février. Un jury composé notamment de l'auteur, de l'éditeur, d'un cinéaste visionnera les vidéos et décernera deux prix : un premier prix qui aura séduit le jury et un prix spécial récompensant l'originalité de la vidéo. Concours Instinct Lire en Live
Quand elle se glisse près de moi et que le bus s'éloigne, je me crispe.
Je baisse les yeux vers nos genoux qui se touchent légèrement. Jean contre jean. Remarque-t-elle la chaleur qui circule entre nos corps ? Je ne suis plus puceau et pourtant, son moindre contact m'affole. Jusqu'ici, j'avais tout fait pour ignorer l'évidence de mes sentiments. Jusqu'à hier, au moment je l'ai serrée dans mes bras et ses larmes ont inondé mon tee-shirt.
Sentir ses genoux ne me suffit pas. J'en veux plus.
Elle entrelace ses doigts, les mains posées sur ses jambes comme si elle ne savait pas où les mettre. Je meurs d'envie de la toucher, mais elle pourrait me repousser. C'est bien la première fois que je crains la réaction d'une fille.
Tout en me mordillant la lèvre, j'avance la main d'un millimètre vers la sienne.
Sans réaction de sa part, je poursuis. Encore un peu. Quand le bout de mes doigts touche son poignet, elle se raidit. Mais elle ne dégage pas sa main.
Comme sa peau est douce, me dis-je, alors mes doigts remontent son poignet, vers ses phalanges, pour atteindre ses ongles lisses et manucurés.
Ses effleurements me rendent dingue. Ils sont plus érotiques, plus bouleversants que tout ce que j'ai pu faire avec Kendra. Je me sens aussi maladroit qu'un gamin de seconde.
Je suis tellemen heureux qu'elle ne dégage pas sa main. Comme si elle lisait dans mes pensées, elle la retourne en même temps que moi Nous voici paume contre paume... doigts contre doigts. Lovée dans la mienne, sa main parait minuscule... Plus délicate que jamais. Elle éveile mon désir de la protéger, d'être son héros.
Écrit et réalisé par Sean DURKIN. Avec Elizabeth OLSEN, Christopher ABBOTT, Brady CORBET, Hugh DANCY, Maria DIZZIA, Julia GARNER, John HAWKES, Louisa KRAUSE, Sarah PAULSON
Synopsis :
Après avoir fui une secte et son charismatique leader, Martha tente de se reconstruire et de retrouver une vie normale. Elle cherche de l’aide auprès de sa sœur aînée Lucy et de son beau-frère avec qui elle n’avait plus de contacts, mais elle est incapable de leur avouer la vérité sur sa longue disparition. Martha est persuadée que son ancienne secte la pourchasse toujours. Les souvenirs qui la hantent se transforment alors en effrayante paranoïa et la frontière entre réalité et illusion se brouille peu à peu…
Mon avis :
Un premier film pour le réalisateur Sean Durkin, un premier rôle à l’écran pour Elisabeth Olsen, un prix de la mise en scène à Sundance, un prix regard jeune à Cannes et un sujet original : Martha Marcy May Marlene tient-il toutes ses promesses de départ ?
Je ne sais pas ce que vous en pensez mais j’ai personnellement toujours eu un peu de mal avec les films dont le titre est imprononçable ou difficile à mémoriser. Ce défaut donne souvent à l’œuvre un aspect insaisissable qui installe une certaine distance ne serait-ce que pour faire fonctionner le bouche-à-oreille.
Martha Marcy May Marlene se dote heureusement d’un sujet très intéressant. La secte du film est en effet profondément contemporaine. Il ne s’agit pas ici d’un groupuscule religieux mais d’un mouvement séparatiste qui veut simplement vivre à l’écart de la société, à la campagne. D’ailleurs, il est frappant de constater que lorsque Marcy May veut s’enfuir, on ne la retient pas. Ceci montre bien qu’une secte est avant tout une prison mentale qui sait créer chez ses membres une dépendance en exploitant un manque, l’absence des parents par exemple.
L’ingéniosité de la mise en scène réside dans le parallélisme de deux moments chronologiquement différents. Martha tente de vivre une nouvelle vie chez sa sœur aînée mais des souvenirs de la secte reviennent la hanter si bien qu’elle en arrive à confondre passé et présent.
Cet effet de mise en scène s’essouffle malheureusement au tiers du film et devient même gênant. Sans cesse trompés, nous n’arrivons jamais véritablement à ressentir les angoisses ou les émois de Martha. De surcroît, le film est trop long et l’absence de progression finit par lasser.
Les honneurs reviennent malgré tout à Elisabeth Olsen. Son jeu d’adolescente équivoque et candide est soigné. Elle traduit parfaitement à l’écran la virginité de l’enfance face à des figures complexes adultes, voire masculines. John Hawkes en tant que gourou paternaliste à la fois brutal, sévère et séduisant est définitivement le second atout du film.
Martha Marcy May Marlene est donc un premier essai courageux mais déséquilibré au style minimaliste. On se laissera toutefois séduire par la seule musique du film, « Marcy’s song », interprétée dans une scène par John Hawkes lui-même. De loin ma préférée.
Chronique de Vladimir pour Les Chroniques d'Evenusia
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Katniss : Tu veux voir ce que j’ai trouvé aujourd’hui ? C’est une broche du geai moqueur ; tant que tu la porteras, il ne pourra rien t’arriver de mal. Je te le promets.
Maire : Bienvenue et joyeux Hunger Games !
Effie : J’adore ça. Les femmes d’abord… Primrose Everdeen !
Prim : Non !
Katniss : Je suis volontaire ! Je me porte volontaire en tant que tribut.
D’après les bestsellers épiques
Gale : Tu es plus forte qu’eux.
Katniss : On est 24 Gale, et un seul s’en sortira vivant.
Prim : Non, non !
Katniss : Prends soin d’elles, Gale, quoi qu’il arrive, ne les laisse pas mourir de faim.
Caesar : Katniss Everdeen, la fille du feu !
Qu’est-ce que tu as dit à ta sœur quand tu t’es portée volontaire à la Moisson ?
Katniss : Je lui ai dit que j’essaierai de gagner pour elle.
Caesar : Alors tu essaieras.
Peeta : J’essaie de trouver un moyen de leur montrer que je ne leur appartiens pas. Si je dois mourir, je veux rester moi-même.
Katniss : Je ne peux pas me permettre de penser comme ça.
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