18 octobre 2012
Interview d'EL James, l'auteur de Cinquante Nuances de Grey par Le Parisien
Renaud Baronian, journaliste au journal Le Parisien a interviewé EL James, l'auteur du roman Cinquante Nuances de Grey, sorti hier en France.
Comment avez-vous écrit « Cinquante Nuances de Grey »?
E.L. JAMES. J’ai commencé à écrire pour m’amuser, parce que j’étais fan de la saga « Twilight ».
Je publiais un ou deux chapitres par semaine sur un site de fans de « Twilight ». Comme ce feuilleton avait du succès sur Internet, je suis allée jusqu’au bout. On me disait pourtant : « Pas un éditeur n’en voudra! »
Comment définiriez-vous votre trilogie?
C’est une love story. Je suis moi-même une grande lectrice de romances, dont des romances érotiques. Ma trilogie entre parfaitement dans cette catégorie.
Parlez-nous de vos personnages, Anastasia et Christian.
Ce sont des héros assez classiques de romance. C’est un peu la Belle et la Bête. A la différence près qu’ici, la Bête est vraiment très beau, très riche et sait tout faire puisque nous sommes dans le domaine du fantasme. Et au lit, il sait comment s’y prendre, tout le temps!
Avez-vous mis tous vos fantasmes dans ce livre?
J’en ai encore en réserve! Plus sérieusement, je n’avais pas l’intention de choquer avec les scènes sadomasochistes. J’ai écrit ce livre pour moi avant tout et, à mon sens, l’aspect sadomaso est en arrière-plan… Ce sont les médias qui retiennent cet aspect jusqu’à l’obsession. Pas mes lectrices.
Depuis le succès du livre, les menottes ou les cravaches s’arrachent dans les boutiques de sex-toys…
Je laisse la liberté à mes lectrices de reproduire à la lettre les scènes du livre. Et si cela leur donne l’occasion de concevoir le sexe de manière plus ludique, j’en suis ravie. Si les relations entre mes lectrices et leurs compagnons s’améliorent grâce à mon livre, je trouve ça fantastique. Mais, s’il vous plaît, ne vous concentrez pas sur les seules scènes de sexe. Beaucoup de mes lectrices disent que c’est l’intrigue amoureuse qu’elles préfèrent.
De quelle façon vivez-vous votre célébrité planétaire?
Lorsque 40 millions de lectrices partagent vos fantasmes, vous vous sentez bien entourée! Sinon, bien sûr, ma vie a été bouleversée, je voyage sans cesse… J’ai hâte de retrouver mon mari et mes enfants. Vous savez, nous sommes une famille on ne peut plus normale.
Source : Le Parisien
Comment définiriez-vous votre trilogie?
C’est une love story. Je suis moi-même une grande lectrice de romances, dont des romances érotiques. Ma trilogie entre parfaitement dans cette catégorie.
Parlez-nous de vos personnages, Anastasia et Christian.
Ce sont des héros assez classiques de romance. C’est un peu la Belle et la Bête. A la différence près qu’ici, la Bête est vraiment très beau, très riche et sait tout faire puisque nous sommes dans le domaine du fantasme. Et au lit, il sait comment s’y prendre, tout le temps!
Avez-vous mis tous vos fantasmes dans ce livre?
J’en ai encore en réserve! Plus sérieusement, je n’avais pas l’intention de choquer avec les scènes sadomasochistes. J’ai écrit ce livre pour moi avant tout et, à mon sens, l’aspect sadomaso est en arrière-plan… Ce sont les médias qui retiennent cet aspect jusqu’à l’obsession. Pas mes lectrices.
Depuis le succès du livre, les menottes ou les cravaches s’arrachent dans les boutiques de sex-toys…
Je laisse la liberté à mes lectrices de reproduire à la lettre les scènes du livre. Et si cela leur donne l’occasion de concevoir le sexe de manière plus ludique, j’en suis ravie. Si les relations entre mes lectrices et leurs compagnons s’améliorent grâce à mon livre, je trouve ça fantastique. Mais, s’il vous plaît, ne vous concentrez pas sur les seules scènes de sexe. Beaucoup de mes lectrices disent que c’est l’intrigue amoureuse qu’elles préfèrent.
De quelle façon vivez-vous votre célébrité planétaire?
Lorsque 40 millions de lectrices partagent vos fantasmes, vous vous sentez bien entourée! Sinon, bien sûr, ma vie a été bouleversée, je voyage sans cesse… J’ai hâte de retrouver mon mari et mes enfants. Vous savez, nous sommes une famille on ne peut plus normale.
Source : Le Parisien
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