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Les chroniques d'Evenusia

23 octobre 2013

La Cité des Ténèbres avec Lily Collins et Jamie Campbell Bower

affiche la cité des ténèbres

En salles le 16 octobre 2013

Film fantastique de Harald Zwart

Synopsis : 

Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs 

New York, de nos jours. Au cours d’une soirée, Clary, 15 ans, est témoin d’un meurtre. Elle est terrifiée lorsque le corps de la victime disparaît mystérieusement devant ses yeux... Elle découvre alors l’existence d’une guerre invisible entre des forces démoniaques et la société secrète des Chasseurs d’Ombres. Le mystérieux Jace est l’un d’entre eux. À ses côtés, Clary va jouer dans cette aventure un rôle qu’elle n’aurait jamais imaginé.

Mon avis : 

Sans être une fan inconditionnelle de Cassandra Clare, j'avoue que j'avais lu les trois premiers tomes de sa Saga La Cité des Ténèbres (voir ma chronique du Tome 1) il y a déjà pas mal de temps. Donc je suis allée voir le film avec un souvenir assez lointain du livre et sans attentes particulières. Et du coup je n'ai absolument pas été déçue. 

Je me suis laissée emporter par l'action qui démarre sur les chapeaux de roues et semble ne jamais vouloir s'arrêter. Les scènes de combats sont très bien faites et à aucun moment on ne s'ennuie. Avec des effets spéciaux assez bluffants - notamment celui du premier démon - nous pénétrons dans le monde parallèle des chasseurs d'ombres et sommes rapidement assaillis par un maximum d'informations. Mais même ainsi, on arrive à suivre l'histoire assez facilement. Le réalisateur a su, avec un certain talent, résumer en un peu plus de deux heures (eh oui quand même!) l'univers très riche et complexe de ces guerriers. Il manque bien sûr quelques explications sur l'Enclave et sur Valentin qui arrive un peu comme un cheveu sur la soupe, mais comme il n'y a pas de temps mort, on n'a pas vraiment le temps de se poser de questions.

En ce qui concerne le castin Jonathan Rhys-Meyers est incroyable dans le rôle de Valentin, il est aussi beau qu'il est maléfique et machiavélique. J'ai été agréablement surprise par Lilly Collins (Clary) dont je n'étais pas une grande fan et qui tient son rôle parfaitement bien, bien mieux je trouve que Jamie Campbell Bower qui m'a semblé très insipide à côté de l'idée que je me faisais de Jace. Malgré quelques répliques, certaines assez drôles, prises mot à mot dans le livre, il ne donne pas le change. Les petites scènes romantiques manquent un peu d'étincelles et ce sera donc ce personnage qui sera pour moi le grand point faible du film surtout si on le compare à tous les autres : Robert Sheehan (Simon) est criant de vérité et d'humour dans le rôle de l'humain un peu perdu et même Alec et Isabelle Lightwood sont parfaits. J'ai aussi adoré Luke et ses acolytes même si on les voit peu, Magnus Bane, etc... bref, tous les personnages secondaires sonnent juste. 

Les combats sont nombreux et ont été magnifiquement travaillés : je pense particulièrement à un duel final totalement digne d'un film de cape et d'épée et sans aucun effet spécial. Que dire encore du décor époustouflant de l'Institut ou du repaire de Magnus Bane ! 

Voilà sans être un grand film, la Cité des Ténèbres, ne décevra ni les fans, ni les adeptes de films fantastiques, il atteint son but premier, celui de nous divertir et celui d'avoir adapté une très bonne saga sans avoir pris trop de libertés. 

Le tournage de la suite reprendra en 2014 (voir l'article du Hollywood Reporter)

L'avis de Linagalatée :

Je suis allée voir le film sans avoir lu les livres (eh oui  c’est possible) et sans même en connaître le sujet. C’est donc d’un œil vierge que je vous en parle.

J’ai trouvé le début du film un peu difficile à comprendre mais il m’a vraiment transportée, je me suis vraiment demandé ce qui arrivait à Clary, sa mère qui disparaît d’une manière très brutale de leur appartement complètement fracassé et ce dessin unique qu’elle décline à des centaines d’exemplaires.

Tout s’enchaine très vite, et les explications arrivent. Le film m’a complètement captivée, je suis tombé sous le charme des personnages, tous plus charismatiques les uns que les autres.

Les décors sont extraordinaires de beauté, et de grandeur et les acteurs sont complètement  à leur place dans leurs rôles respectifs, apportant une justesse exacte à leur personnage.

Ce scénario étant déjà « ancien », il a servi de source d’inspiration à beaucoup d’autres auteurs, on y trouve tous les ingrédients indispensables à la réalisation d’un excellent film , qui m’a donné envie de sauter sur les romans.

J’ai été complètement éblouie par les effets spéciaux à couper le souffle, les combats sont extraordinaires. J’ai été subjuguée, oui, oui,  complètement sous le charme de ce premier opus qui mérite franchement une suite. Vite, très vite !

Pour ceux qui ont des questions ou veulent en savoir plus sur La Cité des Ténèbres, je vous conseille vivement le site qui lui est consacré et qui est tenu par une fan de la première heure : http://www.lacitedestenebres.com/ 

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22 octobre 2013

Affiche française de la faction des Fraternels dans Divergente

fraternels

22 octobre 2013

Affiche française de la Faction des Altruistes dans Divergente

ALTRUISTES

22 octobre 2013

Affiche française de la faction des Audacieux dans Divergente

AUDACIEUX

22 octobre 2013

Affiche française de la Faction des Sincères dans Divergente

SINCERES

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22 octobre 2013

Gravity de Alfonso Cuaron

Gravity-Affiche

En salles le 23 octobre 2013

Film de Science-Fiction avec Sandra Bullock, George Cooney, Ed Harris

Synopsis :

Lorsqu’une catastrophe se produit à bord de leur navette spatiale, une experte en ingénierie médicale (Sandra Bullock) et un astronaute chevronné (George Clooney) se retrouvent totalement seuls, livrés à eux-mêmes dans le vide spatial.

Le silence assourdissant autour d’eux leur indique qu’ils ont perdu tout contact avec la Terre - et la moindre chance d’être sauvés. Peu à peu, ils cèdent à la panique, d’autant plus qu’à chaque respiration, ils consomment un peu plus les quelques réserves d’oxygène qu’il leur reste.

L'avis de Block :

Il arrive d’éprouver un sentiment de lassitude à l’égard du cinéma, d’avoir l’impression qu’il tourne en rond, qu’il ne sait plus proposer d’oeuvre originale, qu’il ne fait plus vibrer... Mais, de temps à autre, sort un film qui vous rappelle pourquoi vous avez aimé le septième art : l’émerveillement, l’évasion, l’émotion. Gravity est l’un de ces films : en 1H30, Alfonso Cuaron démontre brillamment qu’il existe encore un intérêt à se déplacer dans une salle obscure.

Gravity est d’abord une prouesse technique qui aura coûté quatre ans de la vie du réalisateur. Visuellement, Alfonso Cuaron livre de loin le film le plus époustouflant de l’année. Jamais l’espace n’a été filmé avec une telle maestria : des plans-séquences d’anthologie, une photographie remarquable, une caméra aérienne, dont la liberté de déplacement et l’amplitude rappellent celle de Gaspar Noé dans Enter the Void, et une 3D saisissante.

Gravity aurait pu n’être qu’un exercice de style virtuose, une expérience en apesanteur, immersive et renversante - Alfonso Cuaron avoue d’ailleurs avoir conçu son oeuvre comme un tour de montagnes russes. Mais le film séduit également par l’histoire qu’il raconte - une lutte acharnée sur le fil, entre la vie et la mort - et la manière dont elle est racontée.

Cuaron fait montre d’un sens du suspense digne de Spielberg et d’un sens de l’image qui évoque parfois Aronofsky (en plus sobre). Il propose notamment à cet égard, tout au long du film, une magnifique analogie visuelle avec le cycle de la naissance, de la conception à l’enfantement.

Côté casting, le choix de Sandra Bullock en scientifique-astronaute de la NASA pouvait surprendre, et nourrir quelques craintes. Elle s’avère plus que crédible : elle est convaincante et attachante. Georges Clooney accepte de se placer en retrait et met sa suavité habituelle au service du récit.

Un bémol ? Alors que le film offre une expérience de cinéma inédite, les dialogues, eux, s’inscrivent dans la tradition hollywoodienne. Ce ne sont pas tant les notes d’humour qui gênent - celles-ci ont tout à fait leur place, dès lors qu’elles n’ont pas vocation à faire rire mais qu’elles sont utilisées comme une défense psychologique par des protagonistes plongés dans une insoutenable situation de stress - mais le cliché de certaines répliques. De ce point de vue, Gravity aurait pu être plus brut, plus sec, plus silencieux. Mais le film vise une large audience, américaine et internationale, ce qui, compte tenu du temps consacré à ce projet, paraît compréhensible.

Alfonso Cuaron s’est aventuré dans un territoire peu exploré et en revient avec une pépite unique, solaire et d’une beauté à couper le souffle. A voir au cinéma, évidemment.

N.B. : Les mouvements de caméra en apesanteur, même s’ils sont doux, pourraient perturber les personnes les plus sensibles au "mal de mer au cinéma". Pour celles-ci - et bien que le film soit très clairement conçu pour la 3D - peut-être est-il préférable de voir le film en 2D.

Bande-annonce VOST

 

 Réaction des Spectateurs

Gravity vu par l'astronaute Jean François Clervoy

 Interview d'Alfonso Cuaron

Interview de Sandra Bullock

Avis de Block publié originalement sur Onirik.net 

21 octobre 2013

Guide officiel du film Vampire Academy

VA OFFICIAL MOVIE COMPANION

Sortie VO prévue pour le 31 décembre 2013

Du coup on a aussi deux photos inédites sur la couv

Les précommandes Amazon sont disponibles

21 octobre 2013

Psi-Changeling Tome 7 : Souvenirs Ardents de Nalini Singh

PSI CHANGELING 7

Sortie le 23 août 2013

Titre original : Blaze of Memory

Traduction : Clémentine Curie

Résumé de l'éditeur : chez Milady

Devraj Santos n'a jamais hésité à se salir les mains pour protéger les siens. Lorsqu'il trouve sur son territoire une jeune femme inconsciente, torturée et amnésique, il devrait l'éliminer. Pourtant, il ne peut se résoudre à la blesser. Dépouillée de ses souvenirs et programmée pour tuer, Katya Haas doit combattre la folie qui la menace. Dev est son seul espoir. Mais pourquoi l'homme qui risque d'être sa prochaine cible lui accorderait-il sa confiance ?

Mon avis :

Devraj Santos est le directeur de Shine, organisme qui aide les enfants des Oubliés à faire face aux différents problèmes liés à leurs nouvelles capacités. C'est un être qui se doit d'être froid de par sa position et les mesures extrêmes qui doivent souvent être prises pour protéger Shine. Le don qu'il a d'absorber le métal l'aide dans sa fonction mais le rend de plus en plus froid, insensible à toute forme de sentiments. Quand il trouve Ekaterina évanouie et amnésique devant chez lui, il sait qu'elle est certainement là pour percer a jour ses secrets ainsi que ceux de la société qu'il dirige. Malgré tout la voyant affamée et dans un grand état de faiblesse, ses sens protecteurs se sont réveillés et il décide que ce sera lui qui prendra soin d'elle et ce, jusqu'à ce qu'il la perce à jour et qu'il trouve le but de sa mission, même s'il sait qu'elle est l'ennemie et qu'il faudra peut-être la tuer pour protéger les siens.

Alors que dans le tome précédent on a eu affaire à une romance entre deux Changelings, ici le couple est totalement différent. Dev est puissant et s'aide de ses aptitudes avec le métal pour garder un maximum de froideur en lui, mais son instinct de protection est très fort devant cette femme qui a été torturée psychologiquement et qui malgré tout ne cesse d'aller de l'avant pour comprendre comment elle en est arrivée là. Elle est Psi et cette seconde chance de survie elle la ressent comme une renaissance allant même jusqu'à changer de nom pour oublier cette femme en elle qui a été torturée.

C'est peut être un des tomes les plus émouvants de cette série. Les épreuves traversées par l'héroïne sont très dures et on voudrait qu'elle puisse enfin trouver la paix auprès de cet homme qui a décidé de prendre soin d'elle coûte que coûte. Mais l'ennemi est puissant et le sort semble s'acharner contre eux...

Cette série s'enrichit au fur et à mesure de détails incroyables. Exceptés les deux premiers tomes qui sont assez similaires, les suivants sont tous très variés. Les amateurs de romance paranormale seront comblés car au delà de la romance jouant toujours le rôle conducteur dans chaque tome, l'univers de cette saga est complexe et précis. L'alternance des histoires tantôt entre les Psis, puis entre les Changelings ainsi que l'apparition des enfants des oubliés sont autant d'éléments qui favorisent les multiples histoires.

 

Retrouvez d'autres avis sur Bit-lit.com

21 octobre 2013

Hunger Games L'Embrasement : Spot Coldplay VOST

PHOTO-Un-superbe-poster-pour-Hunger-Games-L-Embrasement-avec-Jennifer-Lawrence_portrait_w532

21 octobre 2013

Rose Hathaway et Dimitri Belikov !

 

ROMITRI

Ralala cette coupe au bol, non décidément je n'y arrive pas :(

 

Rose et dimitri à l'entraînement

La scène de l'entrainement <3 

entrainement rose et dimitri

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source : Vampire Academy France et VA Movie

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