Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Les chroniques d'Evenusia
Publicité
film fantastique
30 janvier 2012

Underworld Nouvelle ère

 19935312

En salles le 8 février 2012

Synopsis : 

Depuis des siècles Lycans et Vampires se livrent une bataille sans merci. Mais les deux races sont à l’aube d’une ère nouvelle car les humains, qui ont récemment découvert leur existence, décident de cesser leurs conflits internes pour s’engager ensemble dans la lutte contre ce qu’ils considèrent comme des fléaux. Sélène s’attire la convoitise de l’armée et des scientifiques. Une traque incessante commence alors contre la plus redoutable des vampires. 

Mon avis

Que les fans de la saga Underworld se réjouissent et plus particulièrement ceux qui ont apprécié les deux premiers volets ! Kate Beckinsale endosse son costume en latex avec sensualité et incarne une Sélène plus belle et sexy que jamais. On la découvre aussi plus sensible et protectrice. Mais elle n'hésite pas à laisser place à une impitoyable violence dès que surgit le danger. 

Après un rapide récapitulatif rapide des volets précédents mais toutefois indispensable pour les néophytes de la Saga, nous retrouvons Sélène alors qu'elle vient de passer 12 ans dans une capsule cryogénique. Libérée par la personne qui occupait la capsule voisine (tout laisse à supposer qu'il s'agit de Michaël), elle se "réveille" et commence sa révolte là où elle s'était arrêtée 12 ans plus tôt. Mais pendant des années les humains, après avoir eu connaissance de l'existence d'êtres surnaturels se sont organisés et on mis au point "la Purge", éradiquant impitoyablement Lycans et Vampires. Seuls rescapés de cette traque, un groupuscule de vampires demeure caché.  Loin de faire la guerre aux humains, ceux-ci, en minorité, préfèrent se faire oublier. Les lycans quant à eux, à force d'être traqués se sont terrés dans les bas fonds de la ville, s'affaiblissant peu à peu jusqu'à ressembler plus à des zombies qu'aux bêtes terrifiantes qu'ils étaient. 

Alors qu'on s'attendait à ce que vampires et lycans s'allient pour combattre les humains, le scénario ici est plein de surprises.

Dans ce 4ème volet, l'aspect gothique est mis de côté au profit de décors futuristes et froids, très inspirés de l'époque soviétique. Ajoutés aux couleurs sombres et bleutées, ils s'intègrent parfaitement au style donné à la saga à travers les différents volets. On garde toutefois un côté ancien avec le repère des vampires enfoui dans une grotte derrière un  incroyable barrage hydrolectrique. Un nouveau souffle est également apporté à la saga par de nouveaux personnages qui deviendront - on le devine aisément - des éléments prépondérants pour les prochaines et inévitables suites. 

Les effets spéciaux sont extrêmement bien rendus et seront certainement sublimés par la 3D. Les scènes de combat sont nombreuses sans être répétitives et donnent un rythme haletant au film qui ne faiblit pas en intensité magré un scénario quelque peu léger. 

Un quatrième volet bien abouti qui plaira aux amateurs d'action, qu'ils soient fans de la saga... ou pas. 

Retrouvez plus d'infos, photos, affiches et bandes-annonce sur la fiche film : ICI

Ne ratez pas la Bande Originale qui s'intègre parfaitement dans le style du film. En voici quelques extraits : 

 Je remercie chaleureusement la SND et plus particulièrement Margaux et Vladimir de m'avoir permis d'assister à cette projection en avant-première !

Vous pouvez également lire les avis de : ABFA et Vampirisme.com

Publicité
8 janvier 2012

Chronique du film THE DARKEST HOUR de Chris Gorak

591964836

Sortie en salles le 11 janvier 2012

Synopsis :

Sean et Ben sont à Moscou pour affaires, confrontés à un univers d’argent et de pratiques sans scrupules. Natalie et Anne s’y trouvent en escale involontaire alors qu’elles avaient prévu de se rendre au Népal. Les quatre jeunes gens se rencontrent par hasard dans la boîte de nuit la plus branchée de la ville où ils croisent Skylar, un homme d’affaires suédois qui a arnaqué Sean et Ben.
Ce haut lieu qui attire puissants et personnalités en vue bascule dans la terreur lorsque des aliens attaquent…
Après avoir vécu terrés quelques jours dans les sous-sols, les cinq survivants ressortent et découvrent une ville déserte. Le monde semble immobile alors qu’une force terrifiante et invisible les guette… S’ils veulent avoir une chance de survivre, ils vont absolument devoir découvrir qui sont ces êtres venus d’ailleurs et ce qu’ils veulent. C’est à ce prix qu’ils pourront les combattre, s’ils en sont capables…

29874980

Crédits photos : Twentieth Century Fox 2011

Mon avis :

The Darkest Hour est une belle surprise s’appuyant sur un concept scénaristique original tout en respectant les codes du film catastrophe.

A première vue, le film pourrait s’avérer repoussant en raison de son registre apocalyptique trop souvent utilisé dans les films américains. Mais ce n’est sans compter la maîtrise de son réalisateur Chris Gorak.  En effet,  le genre ne lui est pas inconnu. Déjà son premier film catastrophe Los Angeles : Alerte maximum installait une atmosphère particulière, proche de la paranoïa et de la claustrophobie. De plus, un soin tout particulier a été accordé à l’identité visuelle de The Darkest Hour,ce qui estnon sans rappeler le travail effectué par le même Chris Gorak en tant que directeur artistique sur Fight Club ou Minority Report.

L’originalité du film réside assurément dans la manière de représenter la menace extra-terrestre invisible. Le fait de ne pouvoir l’appréhender ne fait que renforcer l’angoisse des personnages et donc du spectateur. On peut simplement distinguer la présence de ces envahisseurs à travers les faisceaux d’énergie qu’ils dégagent, les déformations de l’air et les appareils électriques qu’ils activent sur leur passage. Le concept est simple, efficace et intelligemment décliné tout au long du film. On se surprendrait presque de temps en temps à désirer la mort de nos compères humanoïdes pour apprécier l’esthétique des effets spéciaux lorsqu’un corps est réduit en cendres !

766544088 498908138

Crédits photos : Twentieth Century Fox 2011

Bien évidemment, le film empreinte certains passages incontournables du genre. Le décor urbain et désertique de Moscou est ainsi très largement inspiré de 28 jours plus tard. Néanmoins, vider la place rouge de tous ses touristes est en soi une prouesse technique, du moins à l’écran l’illusion est totale ! Les personnages évoluent selon une progression nivelée sur un terrain de jeu bien délimité à l’image d’un jeu vidéo. On notera également que la fille hystérique et l’homme qui préfère la jouer en solo n’ont, comme l’on peut s’en douter, qu’une durée de vie très courte dans le film.

997949096 520025269

Crédits photos : Twentieth Century Fox 2011

Heureusement, grâce à son rythme haletant, le film n’a jamais le temps de se perdre dans des intrigues secondaires souvent prévisibles (amoureuses ou autres) qui pourraient l’éloigner de son sujet principal. On appréciera la présence d’Emile Hirsch, assez rare à l’écran depuis Into the wild, mais tout à fait crédible dans le rôle du héros qui se révèle et se surpasse dans les situations exceptionnelles.

108556035

Crédits photos : Twentieth Century Fox 2011

L’utilisation de la 3D est complétement justifiée : le champ électrique dégagé par les ennemis  déborde de l’écran et vient terrifier le spectateur qui aimerait garder un peu plus ses distances. Ils nous arrive même de rire lorsque fusent les répliques cinglantes de patriotes russes.

The Darkest Hour est donc un film catastrophe surprenant à bien des égards. Son scénario, concis et ingénieux, est un premier essai signé Jon Spaihts. Ceci mérite d’être salué et semble plus que prometteur pour sa deuxième œuvre de science-fiction : Prometheus !

Chronique de Vladimir pour les Chroniques d'Evenusia

17 novembre 2011

Time Out : un film d'Andrew Niccol avec Justin Timberlake et Amanda Seyfried

68458211_p

Synopsis :

Bienvenue dans un monde où le temps a remplacé l'argent. Génétiquement modifiés, les hommes ne vieillissent plus après 25 ans. Mais à partir de cet âge, il faut "gagner" du temps pour rester en vie. Alors que les riches, jeunes et beaux pour l’éternité, accumulent le temps par dizaines d'années, les autres mendient, volent et empruntent les quelques heures qui leur permettront d'échapper à la mort. Un homme, Will Salas (Justin Timberlake), accusé à tort de meurtre, prend la fuite avec une otage, Sylvia (Amanda Seyfried), qui deviendra son alliée. Plus que jamais, chaque minute compte.

MMRCARFX90GCAKRI8ROCAC0AU0ECAZPNRRVCAA3DGUVCAM9B5DMCAKP1TTECAE4G982CAN5XZBQCA3FY35FCA5MKFVMCALSAI6VCAO83TQYCA2R4ODUCADMLXTSCATWIMS0CAJ6V3O7CAHN394J

Attention, cette critique vous coûtera 5 minutes de votre vie !

Mon avis :

Andrew Niccol signe ici un très bon film de science-fiction au rythme haletant mais qui manque malheureusement d’un peu d’ambition pour accéder au rang des films cultes.

Ce qui frappe immédiatement dans Time Out c’est l’esthétisme soigné de l’univers imaginé par Andrew Niccol. Le décor oscille entre une banlieue ghettoïsée de l’Ohio et une riche mégalopole imaginaire nommée New Greenwich. Ici, pas d’éléments trop futuristes qui viennent polluer le paysage : nous sommes dans un future proche. L’empreinte esthétique du film réside également dans ce compte à rebours  vert fluo tatoué sur l’avant-bras des personnages qui scintille dans le noir et qui symbolise la brièveté de la vie, du temps. Et il faut bien l’avouer : l’idée directrice du film est tout simplement géniale !

Le temps est totalement monétisé dans ce polar fantastique. Prendre un café, se déplacer en transports vous coûtera du temps au sens propre et vous rapprochera un peu plus de la mort. Tandis que les jours paraissent une éternité pour les riches, les plus pauvres doivent économiser leurs précieuses minutes pour espérer vivre jusqu’au lendemain : un carpe diem forcé en somme. « Le temps, c’est de l’argent » ne pouvait rêver meilleure interprétation ! Le film fourmille ainsi de très bonnes idées en rapport avec le champ lexical et l’iconographie du temps.

On regrettera peut-être le choix de ne pas replacer l’intrigue dans un environnement réel : cette science-fiction aurait gagné en vraisemblance. Heureusement, on  s’attache au personnage interprété par Justin Timberlake, parfait dans ce rôle de bad boy robin des bois du futur. Oui Justin chante, danse et joue la comédie avec brio. Rappelons que c’est sa 3ème apparition au cinéma cette année après « Sexe entre amis » et « Bad teacher ». Il apporte à Time Out toute la crédibilité qui manque au scénario, pas assez abouti à mon sens.

En effet, on note une progression du film assez floue avec des allers retours entre le ghetto et la city qui ne font pas avancer l’intrigue à grands pas. Certaines pistes scénaristiques passent même à la trappe (le passé du père du héros à peine évoquer par exemple). On sent bien que l’intrigue a été simplifiée au profit d’une meilleure compréhension du spectateur. Ceci a l’avantage de garder un rythme soutenu tout le long du film. Nous sommes tenus en haleine par l’action. On ne note aucun temps mort ! Malheureusement, les ambitions limitées du film sonnent comme une déception pour le spectateur qui s’imaginait un champ des possibles infini avec une aussi bonne idée de départ.

Time Out aborde néanmoins intelligemment les thèmes de l’immortalité, l’éternelle jeunesse, la concentration des richesses, la sélection naturelle selon Darwin, etc… Ceux-ci traduisent à la fois les inquiétudes de nos sociétés d’aujourd’hui et anticipent les fléaux de nos sociétés de demain !  Le film est pour ainsi dire une métaphore des déboires de la finance mondiale actuelle et de la lutte des classes. On retrouve bien le cynisme et les thèmes sociaux des précédents films d’Andrew Niccol (réalisateur de « Bienvenue à Gattaca » et scénariste de « The Truman show », tous deux excellents).

On retiendra  le très beau duo constitué de Justin Timberlake et de la charmante Amanda Seyfried à la beauté froide et intrigante : les Bonny and Clyde des temps modernes.  A cela s’ajoutent deux ou trois scènes sublimes dans lesquelles les personnages courent après le temps qui fuit sur une bande-originale discrète mais puissante composée par Craig Armstrong : un lyrisme indescriptible ! Enfin, n’oublions pas la morale du film qui vient nous remettre les pendules à l’heure : il faut vivre pleinement le jour présent comme si c’était le dernier…

Voir la fiche complète du film avec photos et bandes-annonces : ICI

Voir les photos de la conférence de presse avec Justin Timberlake et Amanda Seyfried par mes Partenaires du 102B : ICI

Chronique de Vladimir pour Les Chroniques d'Evenusia

Nouvel extrait : 

16 novembre 2011

Twilight Chapitre 4 - Révélation 1ère Partie

affiche-twilight-4-revelation

Synopsis : 

Bella a fait son choix : elle s’apprête à épouser Edward. Mais le jeune homme honorera-t-il sa part du marché ? Acceptera-t-il de la transformer en vampire et de la voir renoncer à sa vie humaine ?

Mon avis : 

A peine sortie de l'avant-première qui avait lieu ce soir au Grand Rex, je vous livre mon avis à chaud. La séance était archi-complète et Matthieu Bardel toujours fidèle au rendez-vous de la SND, n'a pas réussi à calmer la salle très bruyante qui était en ébullition dans l'attente du début du film. 

A peine démarré, le silence s'est installé et je n'ai pas vu passer les deux heures de film. Tout y est fidèle au roman de Stephenie Meyer, bien plus que dans les précédents. Comme je ne souhaite pas vous donner de spoilers, je vous en dévoilerai le moins possible.

Toutes nos attentes sont respectées. La robe de Bella, son appréhension lors du mariage, Charlie tout en émotions, la lune de miel, etc... l'atmosphère est superbement bien rendue.

Les scènes entre Bella et Edward sont romantiques à souhait sur un fond musical qui n'est pas sans nous rappeler le premier volet de la saga avec Carter Burwell aux commandes.  La lune de miel est totalement identique au roman avec (il me semble) quelques phrases tirées du livre. Les fans seront aux anges : ils ne verront que ce qui est décrit dans le livre, rien de plus rien de moins^^. 

Bella enceinte est impressionnante de fragilité et certaines scènes comme celle de l'accouchement sont vraiment incroyables. Beaucoup plus d'hémoglobine également alors âmes jeunes ou sensibles s'abstenir. 

Je redoutais également l'imprégnation de Jacob et là non plus rien à dire, c'est très bien fait, pas de faux pas. Jacob prend un peu de distance par rapport au couple, à la meute, et son rôle gagne en maturité. 

C'est un volet exclusivement tourné sur l'histoire d'amour d'Edward et Bella. Si les autres personnages sont présents, l'histoire est centrée sur le couple, leur passé, le présent et leur avenir incertain. 

Pour ceux qui désireraient découvrir Twilight, il sera difficile de suivre ce 4ème volet sans avoir vu ou lu les précédents car on y fait énormément référence tout au long du film. 

En un mot, mon côté romantique est totalement conquis et l'attente va être bien longue jusqu'à l'année prochaine pour découvrir enfin le dernier volet de cette Saga. 

PS : une dernière chose : RESTEZ APRES LE GENERIQUE DE FIN !!!!!!

Vous pouvez également lire l'avis de : 

BelladouceLe 102 B, NKOTG

Si vous souhaitez qu'un lien pour votre avis soit rajouté dans cet article, me contacter svp. 

21 juillet 2011

Chronique de Harry Potter et les Reliques de la Mort Part. 2

hp

Synopsis

Dans la 2e Partie de cet épisode final, le combat entre les puissances du bien et du mal de l’univers des sorciers se transforme en guerre sans merci. Les enjeux n’ont jamais été si considérables et personne n’est en sécurité. Mais c’est Harry Potter qui peut être appelé pour l’ultime sacrifice alors que se rapproche l’ultime épreuve de force avec Voldemort.

Mon avis

Ce soir en sortant de la salle de cinéma, j'ai l'impression de me retrouver seul sur le quai de la gare, quai 9 3/4, car je viens de perdre un ami. Dix ans se sont écoulés et j'ai toujours répondu présent à chaque rendez-vous qu'Harry m'a donné. Notre dernière rencontre s'est achevée sur un feu d'artifice d'action et d'émotion qui m'ont enchanté pendant plus de deux heures. 

Rivé derrière mes lunettes 3D (qui me laissent toujours la même impression d'inutilité), j'ai suivi la quête de notre jeune sorcier se rapprochant du combat final avec son ennemi juré Voldemort. Basé sur un thème pourtant classique : le bien contre le mal, le film déroule sa galerie de personnages, tous très attachants, même les plus méchants -avec une mention spéciale pour Rogue et Bellatrix Lestrange-, des effets spéciaux à couper le souffle qui repoussent les limites de l'imagination font de cet ultime épisode, une réussite totale. Je ne vous dévoilerai pas le final avec un rebondissement extraordinaire pour vous laisser la surprise, si comme moi, vous n'avez pas lu les livres de J.K Rowling. 

Comme Star Wars, ou encore le Seigneur des Anneaux, Harry Potter vient s'inscrire au Panthéon des grandes sagas cinématographiques et à n'en pas douter, dans vingt ou trente ans, notre petit sorcier n'aura pas pris une ride. "Choixpeau" Harry ! 

Chronique de Swan pour "Les Chroniques d'Evenusia"

Vous pouvez également lire l'avis de Pixscreen ici

Publicité
28 juin 2011

Sortilège avec Alex Pettyfer

Sortilege (1)

Avec Vanessa Hudgens, Alex Pettyfer, Mary-Kate Olsen et Neil Patrick Harris.

Mercredi 22 juin : avant-première de Sortilège : 

Une trentaine de personnes invitées par Purefans attendent le début de la projection devant les locaux de Metropolitan Filmexport. Nous avons droit à un accueil bien sympathique de la part de Laurent (que je remercie au passage^^) de Purefans ainsi que de son équipe. Il ne lâche pas son appareil photo et nous informe qu'ils vont réaliser un reportage photo avec une interview filmée qui sera disponible sur le site de Purefans. Ils souhaitent recueillir le ressenti des spectateurs et donner un avis pour le public qui verra le film en juillet. 

Synopsis : 

Superficiel et trop gâté, Kyle, 17 ans, est le garçon le plus populaire de son lycée. Obsédé par son image et sa notoriété, il va s’en prendre à la victime de trop… Pour s’amuser, Kyle cherche à humilier Kendra, une fille gothique de sa classe que la rumeur dit être une sorcière. La jeune fille décide de lui donner une bonne leçon et lui jette un sort qui le transforme en un monstre aussi hideux à l’extérieur qu’il l’est à l’intérieur.

Victime du sortilège, Kyle a un an pour trouver quelqu’un qui puisse l’aimer sincèrement malgré son apparence, sinon il restera un monstre à jamais. Son seul espoir repose sur une fille discrète qu’il n’avait jamais remarquée jusqu’à présent,Lindy

Mon avis

Si vous avez aimé High School Music Hall, vous allez adorer Sortilège. Vanessa Hudgens, toujours aussi jolie, a trouvé un nouveau partenaire et pas des moindres, puisqu'il s 'agit d'Alex Pettyfer ! Nos deux héros vivent dans ce film une magnifique histoire d'amour, romantique à souhait. 

Kyle possède tout ce qu'on peut désirer : il est beau, riche et admiré de tous. Elevé par son père dans l'idée que la beauté est indispensable à la réussite, Kyle n'hésite pas à repousser et à dédaigner ceux qui, à ses yeux, ne représentent pas la perfection. Il se moque ouvertement et en public de celle qu'on surnomme "la sorcière". Afin de lui donner une bonne leçon, celle-ci le transforme en monstre, couvrant son visage de cicatrices et de dessins. Elle l'informe qu'il dispose d'un an pour que quelqu'un lui dise "Je t'aime" sans se soucier de son apparence. Passé ce délai il gardera son physique de bête toute sa vie. 

L'histoire est tendre et Alex Pettyfer est extrêmement touchant dans le rôle de la bête. Il doit apprendre à s'accepter tel qu'il est. Il est intrigué par Lindy qui côtoie la laideur au quotidien en aidant les sans-abris et les drogués. 

L'aspect de la bête est extrêmement moderne et inédit. Mais les cicatrices et tatouages qui recouvrent le visage et le corps d'Alex Pettyfer ne réussissent pas à lui donner l'aspect repoussant qui est décrit dans le livre. Les fans du roman d'Alex Flinn risquent d'être un peu déçus car cette adaptation cinématographhique est loin de lui être fidèle. Cependant, la trame de l'histoire est là et même si cette nouvelle version de "La Belle et la Bête" n'est pas d'une grande originalité, elle saura sans aucun doute séduire le jeune public. 

Mention spéciale pour la bande-originale qui s'impose très fort dès les premières images et reste très présente tout au long du film. 

Ne ratez pas l'idylle de l'été et foncez dans les salles le 6 juillet prochain. 

Nouvelles images du film : (cliquez sur les images pour les agrandir)

BEA-01048

 BEA-00175 BEA-00865 

 BEA-02967

BEA-00672r BEA-02313 

BEA-03044 BEA-03222

Plus de photos : ICI

Pour tenter de gagner des places avec Lecture-academy : ICI

27 mai 2011

Chronique de X-Men Le Commencement

X-Men-Le-Commencement-Affiche
 
Synopsis :
 
X-Men : Le Commencement nous entraîne aux origines de la saga X-Men, révélant une histoire secrète autour des événements majeurs du XXeme siècle. Avant que les mutants n'aient révélé leur existence au monde, et avant que Charles Xavier (James McAvoy) et Erik Lehnsherr (Michael Fassbender) ne deviennent le Professeur X et Magneto, ils n'étaient encore que deux jeunes hommes découvrant leurs pouvoirs pour la première fois. Avant de devenir les pires ennemis, ils étaient amis, et travaillaient avec d'autres mutants pour empêcher la destruction du monde, l'Armageddon. Au cours de cette opération, le conflit naissant entre les deux hommes s'accentua, et la guerre éternelle entre la Confrérie de Magneto et les X-Men du Professeur X éclata...
 
Mon avis :
 
Je dois avouer qu'après la déception du dernier film de la trilogie X Men ''l'Affrontement final'' et du très moyen "Wolverine", j'avais beaucoup d'appréhension à l'idée de retrouver les X Men sur le grand écran. La seule chose à mes yeux qui pouvait paraître intéressante était de confier la réalisation de ce projet à Matthew Vaughn. C'est ce même Vaughn qui avait secoué les films de super héros avec le génial Kick Ass il y a bientôt 2 ans.
 
Il s'avère que, sans être le meilleur film de super héros, les "X Men - Le commencement'' est une réussite totale. Vaughn se rapproche de l'esprit comics en gardant l'atmosphere si particulière de Marvel. Autre détail très important est l'absence de super stars du Box Office. On retrouve au casting : James Mc Avoy (Wanted) dans le rôle de Charles Xavier et Michael Fassbender (Inglorious Bastards) pour le personnage de Erik/Magneto et ces deux acteurs s'avèrent bien plus convaincants que les prédécesseurs de la Trilogie X-Men. Les autres mutants ne sont pas en reste et tous les jeunes acteurs incarnent à merveille leurs rôles.
 
Là ou les autres films ne s'arrêtaient que sur les super pouvoirs , ici, on creuse dans la psychologie et le mal être des jeunes mutants. A noter qu'une fois de plus le génial Kevin Bacon incarne un super vilain très convainquant même si l'on peut percevoir une pointe de cabotinage chez l'acteur.
Pour ce qui est du scenario, sur fond de guerre froide entre les USA et l'URSS, l'histoire se met en place pour nous expliquer la genèse de ces super mutants et la manière dont chacun va choisir le camp du bon et du méchant. Au delà du pop corn movie, on sent que le réalisateur veut faire passer un message celui que n'importe quel être peut basculer dans la démence et la haine par esprit de vengeance personnelle.

Pour une fois, le film ne remplace pas le scénario par des kilomètres d'effets speciaux et c'est aussi ce qui rend toutes ces scènes d'actions encore plus spectaculaires. Les X Men ''Le Commencement'' ont retrouvé un nouveau souffle et une nouvelle jeunesse, il reste à espèrer que les producteurs ne tombent pas dans la facilité d'une suite avec un non scenario et gardent en mèmoire la fraicheur de ce film.
 
Comme le dit le personnage, très réussi d'ailleurs de la très bleue Mystique : ''Fier d'être Mutant'' oui M.Vaughn vous avez de quoi être fier, vous avez réussi à nous faire aimer de nouveau la lettre X.
 
(chronique de Swan pour les Chroniques d'Evenusia)

Merci à Denis Amar et à la Fox pour cette projection.

Pour voir la bande-annonce : ici
Publicité
<< < 1 2 3
Les chroniques d'Evenusia
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 4 458 775
Les chroniques d'Evenusia
  • Toute l'actualité de la romance dans des chroniques de livres détaillées mais aussi des news sur les adaptations ciné les plus attendues, des coulisses des tournages aux premières images en avant-première.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Newsletter
Kindle Illimité

ESSAI GRATUIT 14 JOURS 

Abonnement Lecture illimitée

 

ESSAI 60 JOURS GRATUITS AUDIBLE

 

 

LECTURE EN COURS
Book Cover
Goodreads Logo Evenusia
 
Publicité